Et si la sophrologie t’aidait à mieux te connaître (vraiment) ?

On passe nos journées à courir après le temps, les obligations, les to-do lists…

Mais combien de fois, dans une journée, t’arrêtes-tu pour t’écouter vraiment ?

Pas juste savoir si tu préfères le thé ou le café.

Mais ressentir ce qui se passe en toi, là, maintenant. Tes sensations, tes émotions, tes besoins.

👉 Se connaître, ce n’est pas toujours inné.

👉 Mais ça s’apprend.

Et la sophrologie est une merveilleuse voie pour ça.

Pourquoi c’est si difficile de se connecter à soi ?

Parce qu’on est souvent trop occupées à gérer le monde extérieur.

Entre les attentes des autres, les injonctions sociales, les pensées automatiques… on finit par se déconnecter. On place tellement le reste avant nous-mêmes, que nous n’avons finalement plus de temps pour soi.

Et même quand on veut s’écouter, on ne sait pas toujours comment faire.

Résultat ?

On réagit plus qu’on ne choisit.

On fonctionne en mode "pilote automatique".

On passe à côté de soi-même, sans même s’en rendre compte.

La sophrologie : une pratique pour revenir à soi

La sophrologie, ce n’est pas juste "se relaxer". C’est un entraînement à la conscience, une manière d’entrer en contact avec ce qui est vivant en toi.

✨ Par le corps, on ressent.→ Où sont mes tensions ? Comment je me tiens ? Quelles sensations émergent ?

✨ Par la respiration, on apaise.→ On ralentit, on crée de l’espace, on laisse descendre le mental.

✨ Par la visualisation, on se connecte à ses ressources.→ Confiance, calme, motivation… elles sont là, en toi, prêtes à être réveillées.

✨ Par les mots, on pose une intention, on accueille ce qui se présente sans jugement.

Chaque séance devient un moment de retour à soi, une occasion de se découvrir un peu plus.

Prendre conscience de soi, ça change quoi ?

Quand on commence à se connecter à soi, doucement mais sûrement, tout se transforme. On comprend mieux ses réactions. On apprend à écouter ses besoins avant de s’épuiser. On devient plus présente, plus alignée.

Et non, ce n’est pas de l’égoïsme. C’est une forme de respect de soi. Et quand on se respecte, on vit mieux avec les autres aussi.

Quand j’ai découvert la sophrologie, j’ai compris que je passais à côté de moi-même. J’étais là, mais ailleurs. Je ne ressentais pas, ou du moins, je n’avais pas conscience des petits (ou gros) signaux que mon corps m’envoyait. Je déroulais ma journée, tâche après tâche, sans me poser la question de ce qui se passait dans mon corps.

Et puis j’ai intégré une mini routine. Un mini break. Le temps de 5 respirations, je prends le temps de me demander comment je vais, qu’est-ce qui se passe dans mon corps. En fonction, je sais que je peux adapter ma prochaine tâche, ma prochaine pensée, pour répondre à mes besoins.

Aujourd’hui encore, il m’arrive de me perdre… mais je sais revenir à moi.

 Maintenant, je sens quand quelque chose se passe en moi. Et je sais quoi faire pour me poser, respirer, et ne pas me laisser submerger.

C’est ça aussi, la sophrologie : Se découvrir à travers la pratique. Se recentrer. Mieux vivre son quotidien.

Quelques minutes de pratique suffisent pour :

👉 repérer les signaux du corps (avant le trop-plein)

👉 identifier ce qui nous fait du bien

👉 faire des choix plus alignés

👉 poser des limites, avec plus de clarté

Maintenant, je sens quand quelque chose se passe en moi. Et je sais quoi faire pour me poser, respirer, et ne pas me laisser submerger.

C’est ça aussi, la sophrologie : Se découvrir à travers la pratique. Se recentrer. Mieux vivre son quotidien.

Avec de l’entrainement, le retour à soi est de plus en plus rapide, ou du moins, intuitif. En fait, comme pour toutes les relations, la relation avec soi-même nécessite que l’on prenne du temps pour elle. Comme tu le ferais avec ton/ta partenaire, ton amie ou ta sœur, prendre du temps pour mieux te connaitre et t’écouter améliorera ta relation avec toi-même.

💛 En résumé…

Pratiquer la sophrologie, ce n’est pas chercher à devenir une autre personne. C’est s’autoriser à se rencontrer. À être pleinement soi. À vivre un peu plus en conscience, chaque jour.

Et si tu commençais, toi aussi, à t’accorder ce temps pour toi ?